500 km en panamerica : La passion ou la désillusion ?

Voilà donc les 500 premiers kilomètres franchi avec ma Panamerica 1250 S et c’est assez pour se dire « Oups la boulette » ou « Mais oui !!!!!!! »

Les 100 premiers kilomètres m’ont laissé interrogatif car dans mon cas j’ai trouvé la nouvelle Harley-Davidson moins facile que la Vstrom de chez Suzuki ou bien la GS1250 de BMW. Sincèrement ces deux-là au bout de 30 bornes je me sentais déjà à l’aise et 100 bornes j’avais l’impression d’avoir ces bécanes depuis plusieurs mois. Moteur souple, équilibre naturel, position de conduite…

La Panamerica n’est donc pas une fille facile (arghhhhhh c’est sexiste !!!) et demande pas mal d’attention au début pour s’habituer tant à son moteur qu’à sa partie cycle. C’est simple en mode pluie t’as rien mais dès que tu passes en mode route ça envoie, dans les virages serrés à basse vitesse t’as l’impression que le pneu arrière se dérobe en mode démerde toi mon mon gars !

La seconde sortie d’une centaine de bornes aussi m’a déjà rassuré sur le moteur qui, je ne sais pas si c’est le rodage car quand je l’ai pris elle n’avait que 5 km, m’a semblé plus souple et surtout révélé ce qu’il avait au-dessus de 4000 tours. Les pneus ont commencé à adhérer diminuant peu à peu cette sensation dans certains virages.

Il m’a fallu une belle sortie de 300 bornes pour enfin être conquis en la testant sur l’autoroute, départementales, nationales et même un chemin roulant.

J’ai mis ma selle en position haute ce qui m’a permis de ne plus glisser vers le réservoir et la bulle relevée au max avec une bonne protection et désormais c’est mon casque qui n’est plus à la hauteur niveau insonorisation à certaines vitesses…

Ce que demande comme temps la Panamerica pour comprendre comment elle fonctionne elle te le rend ensuite au centuple en plaisir de conduite. Ce moteur est fantastique, il peut tracter comme la BMW mais à ce grain de folie que n’ont pas les deux autres et qui te donnent la banane dans la relance entre deux virages ou lors d’un dépassement. Il faut l’entendre ce moteur au-dessus de 4000 tours même avec l’échappement d’origine les sensations sont vraiment là.

Les 150 chevaux envoient la poudre et comme la partie cycle et les freins sont cohérent avec cette cavalerie tu peux vraiment t’amuser sans arrière-pensée. Cependant le moteur accepte de se conduire en bonne mule sans te donner des coups de cul quand tu ne rétrogrades pas et en acceptant de relancer la machine sans non plus hoqueter.

Sur autoroute la bulle en position haute protège bien et le régulateur de vitesse est top ce qui me change de ma molette sur le street-bob J

Après quelques manipulations le GPS Haley m’a amené à bon port mais soyons honnêtes il n’est pas pour l’instant à la hauteur des spécialistes mais a le mérite de vous éviter de rajouter un support pour votre GPS ou smartphone.

Alors à qui est destinée cette moto ?

Pour ma part je n’en ferai pas un daily, c’est pour ainsi dire sur le secteur des gros trails la chasse gardée de BMW je n’en ferai pas une machine à choisir pour de grands raids à majorité de pistes, obstacles à franchir…mais pour tous ceux qui veulent une moto qui peut leur permettre de faire des balades cool ou endiablées le WE, leur servir occasionnellement aux trajets boulot-dodo et SURTOUT leur promettre de longs roadtrips qui permettrons d’emprunter toutes les routes alors oui c’est un sacré bon choix !

Cette moto est une moto passion, pour la marque, pour le modèle et vous trouverez toutes les raisons pour ne pas la choisir plus ou moins juste mais sur notre groupe dédiée à la Panamerica 1250 on sent une vraie communauté se développer autour de ce modèle.

( https://www.facebook.com/groups/panamericafrancequi qui passera bientôt les 1000 membres)

On accepte les petits défauts de jeunesse qui sont corrigés au fur et à mesure par Harley et on partage la banane que l’on s’est choppé à la conduire, les accessoires qui arrivent, les conseils et bientôt les sorties. 

Cette Panamerica vient vraiment bousculer le secteur des gros trails, moins sénatoriale que la BMW, plus rageuse que la Vstrom, elle a réussi à dépasser les prévisions de vente de la MOCO que ce soit aux USA ou en Europe et les délais d’attente sont assez courant dans pas mal de concessions.

De l’analyse sociologique et anthropologique du motard



J’aurai bien voulu écrire une thèse sur le sujet mais je vais me contenter d’un billet suite à quelques réflexions et expériences sans aucune validation ni formation scientifique ou ethnologique que mon état de bipède plus ou moins social.

J’ai eu le permis moto très jeune et arrêté de rouler pour raisons familiales durant des dizaines d’années Quand je suis revenu à cet amour ce fut comme un beau cliché, celui du biker de 40 ans passé qui devient amoureux du mythe Harley-Davidson.

J’ai alors commencé mon expérience de l’étude des différentes tribus qui composent la galaxie motarde. Alors oui j’étais motard mais pas seulement, j’étais un biker ! Bon être un faux biker c’est simple il suffit de s’acheter une Harley, Indian ou..euh non on se limite là et déjà c’est trop pour certains ! Un look, des patch, une tribu et la faculté de se prendre pour un pilote, un outlaw pouvant effrayer les foules par sa violence dès qu’on a bu deux bières.

Alors j’ai connu avec plaisir les transhumances chères aux HOG et aux bikers, celle d’une destination plus ou moins lointaine qui se termine dans un endroit bien délimité pour accueillir des centaines voir des milliers de bikers avec de la musique, de la bière, bouffe, des marchands du temple et attractions habituelles

Le biker peut alors comme le pèlerin égrené toute l’année les événements répertoriés et même millésimés ! Sur place il profite de revoir tous ses amis, partager sa passion autour de boissons plus ou moins alcoolisées et puis rentrer ensuite en ordre plus ou moins dispersé chez lui en attendant la prochaine heureux et repu


Ces événements se reproduisent à l’infini au niveau des clubs, des régions mais remarquons que ces dernières années de nouveaux événements ont compris l’évolution du bipède motorisé sur deux roues avec un moteur rageur et rugueux. Il faut dire que prendre l’autoroute pour pouvoir rejoindre le lieu de transhumance rapidement et ne pas rater les concerts, show et autres animations laissait tout de même peu de place à la découverte de LA route.

Alors les Aces, les wheels & waves et autres ont déboulé, plus branchés avec leurs influenceurs et surtout permettant sur place de belles balades au lieu de rester parqué et ça marche ! Comme quoi l’instinct du biker reste la route et rendons à Boulie grâce de son adage « Le ride c’est la source »

Justement ceux qui me fascinent depuis quelques années après avoir goûte jusqu’à satiété des deux premiers c’est les bikers qui prennent la route. Bikers ou trailers car très vite quand on parle d’aventure, de chevauchées lointaines on pense à ces bécanes faites pour rouler partout et de tout temps.

Alors bien sûr il y a eu des Eric Lobo pour emmener des Harley au bout du monde mais pour combien de Jean-Marc Mouvet Laurent Cochet qui parcourent l’Europe ou l’Afrique comme moi l’Ile de France sur des motos plus adaptées ?

Attention la moto ne fait ni le biker ni le baroudeur et si tu entends de voix dans ton casque sans intercom tu vires en mode M. Pirsig, Zen mais totalement barré !

Le biker, motard d’habitude grégaire quitte alors sa tribu dans des voyages initiatiques souvent seul ou à deux mais jamais en groupe. Est-ce l’âge qui nous conduit à cette évolution de l’espèce ? Bien non car de jeunes femmes s’envolent sur des destriers mal embouchés sans peur et plein d’allant vers la Sibérie ou la Russie et des vieux bikers limitent leur trip aux portes ouvertes de leur concession.

Mon idole !

C’est certainement un appel du large très personnel que l’on ressent, un besoin de rouler sans s’arrêter en enchaînant kilomètres, rencontres et paysages qui a certainement été exacerbé avec cette pandémie.

L’homo erectus (rien de cochon bande d’obsédés !) a donc troqué son street bob pour une harley mutante, alors bien sur le poireau biker ne deviendra pas un aventurier sur un trail même Haley mais au moins il partira plus souvent vers de vrais trips sans se soucier de l’heure de l’apéro du rassemblement et du menu du dimanche.

Maintenant c’est le plaisir qui devrait guider nos choix pas nos convenances ni les règles édictées ou inconscientes de notre tribu de choix. Etre heureux sur sa moto en avalant de la borne ou en passant plus de temps à déconner avec ses potes qu’à rouler ? Reconnaissons que la moto est bien plus qu’un moyen de se rendre d’un point A à un point B sauf pour les gladiators en hypersport.

D’ailleurs rare est le motard binaire ( merde sommes-nous des transmotards ?) dans ses choix et il alternera les bons moments seuls ou partagés comme on apprécie le rhum ET la bière 😉

La moto élève nos âmes dans la rencontre de l’autre comme disait Jésus en accueillant les bikers au Paradis

Les vieux bikers ne meurent pas, Ils deviennent des Traileurs !

Harley-Davidson qui se reposait depuis des années à osé révolutionner sa gamme avec l’arrivée d’un Trail routier/aventure dans sa gamme.
On s’est gaussé de cette idée farfelue, on a prédit une citrouille et finalement Harley nous a prouvé qu’il savait innover dans les carrosses tout chemin.

Alors oui cette Panamerica n’est pas exempte de défaut (remontées de chaleur, problèmes de batterie, usb…) mais 99% se règlent au fil du temps avec des mise à jour et le rodage de la moto.

On se demandait quelle serait la clientèle de cette Harley et je pense que la grosse surprise est de constater qu’il semble que près de la moitié des acheteurs étaient déjà des fidèles de la marque mais qui désirent évoluer vers autre chose.

Une moto plus légère, plus facile, plus sure, plus polyvalente mais toujours une Harley.

Sur notre groupe dédié https://www.facebook.com/groups/panamericafrance/ cet état de fait est évident mais ce qui est remarquable c’est ce que cette moto apporte sur les roadtrip.

On ne passe pas d’un softail à une Panamerica pour faire la même chose et je constate que les envies d’horizons nouveaux, de rouler sans nécessité de rejoindre un événement, une concentration sont la grande majorité des témoignages.

Alors la Panamerica élixir de jeunesse des vieux bikers ? Certainement pour ma part avec hâte de se retrouver pour la première rencontre en France de propriétaires de Panamerica et continuer à rouler peut-être vers les Bardenas, St-Jacques de Compostelle avec l’ami Laurent qui lui sera sur son magnifique softail.


Car oui rouler en Panamerica c’est aussi peut-être assurer un pont entre des univers qui s’ignorent afin de partager le plaisir des belles routes, des roadtrip de plusieurs jours en gardant le même esprit de fraternité, simplicité de nos rencontres Harley.

Pan America Stage en pays Basque avec S.P.A.M

Le groupe facebook consacré à ce nouveau modèle de Harley-Davidson la Pan America a déjà dépassé les 500 membres!

Parmi eux pas mal de futurs propriétaires peu habitués à un trail et un moteur de près de 150 chevaux

Alors nous avons eu l’idée de nous associer à Manu de SPAM pour organiser une prise en main plus sereine de cette moto en combinant sur une journée le maniement et évolutions à basse vitesse puis l’après-midi une belle randonnée viroleuse durant laquelle Manu prodiguera ses conseils pour appliquer les enseignements du matin.

Cet événement c’est aussi l’idée de réunir pour une première fois les heureux propriétaires de Pan America en France, Belgique et d’ailleurs pourquoi-pas 🙂

Pour un séjour de deux nuits d’hôtel en demie-pension et le stage comptez 300 € en prix spécial de lancement de SPAM et bien sur sans les boissons !!!!

Stage prévu premier WE d’octobre et nuits de vendredi et samedi dans les Landes près de Dax là où on mange et on boit bien ce qui explique la demie-pension pour raison de sécurité;-)


Vous pouvez me contacter vincent @broaam.fr ou Manu directement si vous êtes interessés secu.perf.aisance.maitrise@gmail.com

Enfin la page pour s’inscrire directement et on limitera à 12 Pan America 🙂
https://fb.me/e/UHSVWfDR

Intéressé, propriétaire de la Panamerica 1250 H-D ? Rejoignez le mouvement !

La Panamerica 1250 fait actuellement un véritable carton de vente aux US et en Europe et les premiers clients français vont enfin toucher leur panamerica dans les jours qui viennent.

Ce modèle tout nouveau et pour ainsi dire révolutionnaire chez Harley (à voir la fronde de certains puristes de la marque qui parle de trahison) va faire de nous des pionniers et l’idée de créer une communauté pour s’échanger les bons plans, les retours d’expérience en plus de ce Blog m’a paru intéressante.

Alors voila le groupe Panamerica France H-D , un groupe POSITIF !!!!

Nous sommes déjà plus de 150 et je me réjouis de la bonne ambiance de ce groupe et de la participation active des membres dont certains potes qui continueront sur leurs Harley Dyna, softail et autres mais que j’ai plaisir à garder près de mes roues 🙂

Ce groupe permet de se tenir au courant des éventuels problèmes de la machine, des solutions, des accessoires, des transformations, améliorations, roadtrips, événements…

Nous allons aussi dès la semaine prochaine proposer des événements dédiés à la communauté mais qui resteront ouverts à tout le monde et viseront à devenir peu à peu européen en commençant bien entendu par la Belgique qui a aussi son groupe Panamerica..

En effet nous sommes nombreux à déjà rouler en Harley, à avoir pas mal de potes et nulle envie de tirer un trait sur les roadtrips qui nous réunissent tous.

Simplement nous aurons quelques événements orientés sur l’aspect all/roads de la Panamerica pour en exploiter tout le potentiel de plaisir de roule !



Work Less Ride more !!!

Test de la Reine actuelle des gros trails routiers : La BMW GS 1250

A Broaam on a déjà testé le Vstom comme gros trail et on avait été enchanté de sa facilité de conduite, sa polyvalence mais le moteur volontaire et sympathique n’offrait pas de sensations en mode Broaam.

BMW1250gs


Avec la BMW GS 1250, équipé en plus de sa ligne d’échappement Akrapovic c’est le cas et on comprend vite pourquoi ce modèle est un succès depuis 40 ans !

Notez d’ailleurs que le modèle prêté par BMW Motorrad, Merci Mathieu , est justement en l’honneur de cette longue et belle carrière.

WORK LESS, RIDE MORE !


Il y a plus puissant, plus sportif mais cette moto est un monstre de polyvalence qui sait tout faire et même bien.

Elle offre en plus de belles sensations avec un moteur péchu et coupleux (137 bourrins la teutonne !). Le bougre à une belle sonorité et une sacré allonge. On a une moto qui peut à la fois rouler en 6 ème sans le moindre hoquet mais vous emmenez en première à plus de 80 kmh !

On passe tranquille les rapports pour se retrouver en 6 ème à 130 kmh et bien plus si on ne guette pas le compteur. L’embrayage est d’une facilité équipement d’éviter l’exercice de musculation des embrayages renforcés ou non hydrauliques.

Il faut même rester attentif lors des reprises car la bête si elle est dans le bon régime, part comme une fusée et peut surprendre certains motards peu habitués à cette puissance immédiate.

Au démarrage vous avez un bon son rauque mais pas ce balancement du deux cylindres que je n’avais pas aimé sur la R NINET URBAN G/S , les pieds bien à plat pour mon 1M81 tassé donc un tout petit moins haute que le Vstom ou le scrambler Triumph !

L’équilibre de la moto est top grâce à ce poids bien répartir, acier en bas dans les cylindres et plastique du réservoir 😉 et on se sent vite chez soi sur cette édition 40 ème anniversaire de la GS.

L’équipement fait rêver entre les modes de conduite, les réglages avec l’ordinateur de bord, les poignées chauffantes, la caméra de recul…euh non je déconne là 🙂

Sur autoroute il est évident que l’on se cale avec le régulateur de vitesse, on s’abrite derrière la bulle (qui vibre un peu à certains régimes) , on met les poignées chauffantes avec cette météo détestable et on peut enchaîner les bornes sans problèmes. Les plus connectés profiteront même de la musique et les autres comme ma pomme se feront un peu chier…

Car c’est évidemment sur les départementales, nationales et petites routes que la GS devient bien plus amusante. Elle permet grâce à son amortissement, ses freins et son moteur de vraiment de se faire plaisir et conduire soit très souplement soit de façon un peu plus agressive. Le poids reste là tout de même et il faut prendre garde à ne pas se laisser déborder par son enthousiasme bien que les freins d’une efficacité remarquable permettent de se sortir des situations mal gérées.

Une attention particulière est à noter si vous devez vous taper de l’interfile car la dimension du moteur est supérieure à celle du guidon et la Reine est bien moins à l’aise dans le trafic très dense en île de France en cas de gros bouchon.
Je ne me suis jamais cogné les tibias dans les deux cylindres et n’ai noté aucune surchauffe désagréable.

Nous avons même pu tester en mode total poireau cette BMW GS sur des chemins remplis de caillasses et d’ornières, de celles qui donnent des changements de direction impromptus ! On s’en est bien sorti même si je suis resté en première et bien prudent en l’absence de protection mode crash bar mais cela à permis de donner un goût de cette fameuse polyvalence des gros trails.


Il n’y a pour ma part pas le moindre intérêt d’avoir ce type de motos si n n’envisage pas de voyager par toutes conditions et sur tous chemins avec.

Les conditions de roule ont été souvent difficiles avec pas mal de pluie, vent, routes glissantes, froid mais aussi quelques belles éclaircies et je dois dire que la BMW sait rapidement vous mettre en confiance et ainsi préserver un réel plaisir de conduite.

En conclusion je vous invite à regarder cette vidéo et j’espère que la Panamerica sera à la hauteur pour disputer son trône à cette Reine, toujours en pleine forme, du trail routier !

Comment « piloter » une Harley sous la pluie ?

Sur Broaam vous avez déjà eu l’occasion de lire des interviews des bikers, riders et amazones que j’ai pu croiser sur la route.

On va plus loin avec un projet qui a vu le jour grâce à des discussions épiques sur la Panamerica 😉

Broaam c’est le plaisir de rouler avec une moto de caractère et celui de communiquer notre passion alors de ces débats est sorti une idée : Vous donnez la parole !

Dans un premier temps on va vous proposer différentes ITW sur des sujets qui reviennent souvent et pour le coup avec des passionnés qui connaissent vraiment le sujet et assurent ! Le pilotage, le Club Style, Les transformations, les différents modèles de Harley, l’actualité de la MOCO….

Au passage si vous avez des idées, des envies laissez un commentaire et on s’engage à vous faire un retour !

Si le format plait on passera ensuite aux tables rondes sur un sujet et même au direct pour répondre à vos questions, vos avis, vos remarques 🙂

Alors je vous invite à découvrir le premier de cette série, que j’espère longue, avec Manu que je remercie pour avoir joué le jeu sans filets et qui nous parle de a passion du pilotage et nous donne ses conseils pour diminuer notre appréhension et comme il le dit :

LA PLUIE C’EST DANS LA TÊTE !

Alpine A110 , le bijou de chez Renault sport !

La Alpine 110 c’est une histoire française du sport automobile et Renault a eu l’idée folle de dire à des designer imaginez l’Alpine en 2020 comme si elle n’avait jamais cessé d’être produite. Le résultat est bluffant tant sur le style que sur les sensations à son bord.

L’Alpine 110 est une touche d’élégance qui préfère la légèreté à la course à la puissance ce qui lui permet de subir une eco-taxe de moins de 1 000 € là où les Mustangs se font assassiner.

Grace à Corentin Conseiller Commercial dédié à alpine j’ai pu découvrir les secret de cette voiture et la découvrir sur route .

Saviez-vous que le capot de l’Alpine cache une ancre Marine en hommage à Dieppe car  ce modèle de sport de la marque est construit ici depuis 1955 ?

Alpine A110 et son Ancre 🙂

La voiture est racée et son design épuré soutient la comparaison avec Porsche et sa Cayman.

Sur le papier son 4 cylindres turbo de 1,8 litre d’origine Nissan ne propose « que » 252 chevaux pour 320 Nm de couple par rapport aux 350 chevaux d’une Cayman et laisse songeur… Seulement avec son châssis en aluminium l’Alpine est un poids plume qui rend plus de 300 kilos à sa concurrente et cette légèreté rend le moteur pétillant. Si il vous en manque encore alors passez à la version S qui elle gagne 40 chevaux et vous permet de vous approcher des 300 chevaux.

On se glisse dans cette voiture avec un plaisir évident quand on voit les sièges baquets et le confort comme le maintien ne déçoivent pas. Je précise que j’ai essayé la A110 Légende qui est la version GT car la Alpine c’est aussi la Pure qui colle à l’esprit roots avec des sièges baquet…non réglable et la S qui a une suspension plus rigide.

A noter la différence de son ressenti entre le passager et le pilote quand aux vocalises du moteur. Elles sont bien plus présente pour le pilote qui profite d’une acoustiques travaillée afin d’amplifier la sonorité de ce petit bloc rageur.

Vous pouvez opter pour une conduite automatique ou avec les palettes au volant grâce à un bouton sur la console du milieu et le mode sport est lui confié au bouton rouge sur le volant 🙂

Sur cet essai de 30 minutes uniquement sur départementales j’ai tout de même plu apprécier la polyvalence de cette Alpine Légende qui même sur route dégradée ne vous chahute pas trop et surtout ne vous envoie rien comme retour négatif dans le volant.

En mode normal on cruise , en mode sport c’est addictif tellement la voiture se comporte sainement , accélère TRES fort et reste cependant facile à exploiter. On a tendance à abuser des palettes pour entendre le double embrayage lorsque l’on rentre un rapport pour relancer la bête.

Parfaite cette Alpine ? Pour le coeur oui, pour la raison j’ai cherché vainement une boite à gants ou des vides poches , si vous avez un espace juste en-dessous de la console centrale. Oubliez toute velléité de partir avec des valises , ce sera léger et sac souple car les coffres à l’avant comme à l’arrière ressemble plus à une boite à gant de Bentley qu’à un coffre.

Dernier petit bémol, le compteur digital pour ma part je trouve plus classe un compteur traditionnel.

Vous pourrez choisir entre de multiples coloris mais attentions ceux en dehors des couleurs basiques sont à série limitée !

Vraiment cela a été un joli coup de coeur et je remercie Corentin, Conseiller commercial Alpine Val d’Europe, attentionné et passionné pour m’avoir permis de renter dans l’univers des passionnés de l’Alpine 110.

Comptez 6 mois de délaisi vous craquez pour elle !

Les premiers essais de la Panamerica 1250 S

Alors bien sur nous qui n’avions vu que les films promos de la marque nous étions avides de voir enfin les premières image de cette Panamerica sur la route et la Thaïlande a ouvert le bal, suivi de l’Allemagne.

Et c’est bien de ce pays que vient la meilleure vidéo (en anglais), la plus précise et objective ainsi que l’article qui la complète (traduction google automatique) afin de se faire une idée plus précise du comportement de cette toute nouvelle Harley-davidson.

En bref notre essayeur donne un 9/10 à cette panamerica qui se permet de venir sur les terres des trails de référence dans cette catégorie avec la BMW GS en tête bien entendu.

Pour les plus patients ils attendront de l’essayer voire la prochaine version qui pourrait être encore meilleure sur certains points mais pour les plus impatients, aventuriers ou inconscients qui ont déjà signé le bon de commande, il seront heureux d’apprendre que cette moto est bien née !

La bête se permet de prendre 225 kmh sur l’autoroute allemande et de se comporter honorablement en mode trail même si elle semble plus à l’aise dans les chemins roulants que les sentiers de mulets, elle se plie à l’exercice avec une bonne note.

Le pilote de testmotor est moins convaincu par la hauteur adaptative qui n’est pas complètement paramétrable et par le travail de l’injection dans la relance en virage mais conclu en saluant l’arrivée de Harley avec brio sur ce secteur des gros trails routiers.

Alors bien entendu même si sa gueule reprend un peu celle du Road Glide, nombre de copains regarderont avec consternation, énervement, apitoiement ma nouvelle monture mais je kiff cette bécane et fais le pari que nous verrons de plus de Panamerica sur la route au fil du temps et que ce modèle deviendra la GS de Harley-Davidson 🙂

Tout savoir sur la Panamerica 1250 S

En attendant le démarrage des essais presse en France de la toute nouvelle Panamerica 1250 qui incarne la politique de désirabilité de Harley nous avons concocté pour vous un choix de vidéo qui vous permettrons de vous faire une bonne idée de la bête et en quoi elle est révolutionnaire comme son moteur !

MAJ 28/03

Essai de la Panamerica à chiang-Mai, l’essayeur confirme que la puissance de cette harley n’est pas « habituelle » avec l’essai en mode sport, que la selle cale bien, qu’il est facile de piloter debout la moto.

Le moteur chauffe légèrement du côté droit mais rien de désagréable.

Il dit que l’impression est d’avoir une moto imposante mais pas lourde et lui aussi se réjouit d’avoir la langue thai dans les setting pour ceux qui n’y comprennent rien 😉

Une vidéo…Française !

Pour la première vidéo honneur aux français avec MATT Adventure dont la vidéo punchy est pleine d’infos et même salué par les gens de la MOCO.

https://youtu.be/3oY-VL9jR5w

 

Une vidéo des US

La seconde vidéo nous emmène aux US  et encore avec Matt mais Matt Laidlaw   

Matt est un concessionnaire Harley et a fait un super job avec cette vidéo qui permet de voir en détails par exemple te tableau de bord , les modes de conduites (pluie, sport, tout-terrain, ordinaire), les caractéristiques de la moto en vidéo avec mise en avant sur la vidéo des pièces ou éléments concernés. C’est très instructif et très détaillé et pour les amoureux de la mécanique tout un passage sur le fonctionnement particulier de ce moteur.

https://youtu.be/7ri6jNNu5cA

Une vidéo de Thaïlande sur la route !

Une partie de la production Harley est fabriqué en Thaïlande et c’est la seule vidéo qui nous permet de voir un essai sur la route de la Panamerica 1250 S
PORJAI RIDER n’y va pas avec le dos de la cuillère et il est en mode je rince la poignée et je pousse des whaouuu !
Même si vous ne parlez pas thai c’est la vidéo là plus naturelle et qui vous permettra d’être en mode immersif pendant quelques minutes sur la Panamerica 🙂

https://youtu.be/A2XQFUJ_ZGE

Voila j’espère que cette courte sélection , mais de qualité comme les café M.., va vous permettre de découvrir cette moto et pour les autres de patienter avant les essais en France.

Pour tout dire on est dans les startingBlock chez Broaam 🙂