Ils nous parlent de leur Panamerica Harley-Davidson !

Qui plus à même de nous parler du plaisir de rouler en Panamerica, des raisons d’un tel choix que leurs propriétaires ?
Alors voici quelques témoignages recueillis autour de cette moto passion et merci à Harley-Davidson France de nous permettre de saluer le témoignage de richard qui a obtenu le plus de vote 🙂

Richard Aguettant Dumont

J’ai 48 ans et « seulement » 13 ans de permis moto.

Après 10 ans de plaisir en Japonaises plutôt dynamiques, on décide de passer du côté obscur en acquérant un Street Glide pour moi et un 1200 Sportster pour ma petite femme.

Puis au bout de 2 ans, j’ai envie de retrouver les sensations perdue de mes anciennes motos, et HO miracle, la Pan America est annoncée et c’est comme une révélation.

C’est une évidence, elle serra mienne, et je passe commande en tout début d’année.

Pourquoi? Et bien pour avoir plus de dynamisme, voir d’adrénaline.

Il était évident que la marque de Milwaukee allait être attendu au tournant, et aussi allait sortir quelque chose d’abouti.

Et c’est rien de le dire: tenue de route parfaite, freinage puissant, performances extraordinaires, polyvalence évidente… promesse tenue par la marque.

Avoir la possibilité de rester dans la famille HARLEY DAVIDSON tout en étant au guidon d’une machine procurant du plaisir à tous les étages, c’est juste génial.

Un long road trip d’ici 1 an?

Pour nous c’est prévu dans 2 ans.Nous préparons un voyage au long terme de 7 mois environ sur le continent américain (1 mois Canada et 6 mois USA) avec NOS motos. Il s’agira là de découvrir plus en détail un pays regroupant tous les types de paysages , mais un voyage c’est des rencontres avant tout, et si on peut poser la tente dans le jardin des uns ce serrait génial, et si on peut dormir chez les autres, c’est encore mieux.Le but étant d’échanger avec les gens, et quoi de mieux que d’aller rencontrer des familles chez eux?

Guy Massol

Moi c’est la ligne générale qui m’a bluffé et que j’ai de suite aimé, j’en ai eu confirmation quand j’ai vu la présentation du prototype … j’ai craqué j’ai signé sans même y monter dessus, et depuis c’est que du bonheur , que ce soit sur les petites routes cévenoles , sur les pistes de l’arrière pays , sur autoroute, ou en ville elle passe partout avec brio, et puis quel confort! Et encore plus depuis que j’ai retaillé la selle pour avoir les pieds bien à plat lors des arrêts ou manœuvres…😉🤣 Le Portugal ou le cap nord pourrait être une de mes destinations l’an prochain …



Stephane Bouchon-bitaud

Hello, je vais chercher la Pan samedi, alors les avis sur ses qualités, je me les suis fait lors de son essai. J’ai aimé. De l’adolescence a il y a 15 ans, c’était des trails. Puis un Fxdx, un Fatbob, un Breakout CVO, deux Street Glide CVO… et la Pan est arrivée. Incapable de ne plus avoir de custom, mais mort d’envie d’un trail badgé du Bar & Shield. J’ai aujourd’hui mon âme en paix: un Slim S 110ci vert armée pour les petites virées plaisir et la virilité du 110, et la Pan qui arrive pour les voyages a 2 et les routes viroleuses. Heureux

Jerome Girard

Motard sur le tard, une vieille Africa Twin m’accompagne depuis 5ans sur les routes gauloises. Une bécane légendaire qui a pourfendu les pistes du monde. Mon plaisir est quand ça vire et que ça volte, quand le macadam se fend et se creuse de nids de poule et se change en chemins rocailleux, grimpe les sommets des alpes sur des pistes tout juste praticables. La découverte de l’univers moto sur la selle d’un trail, la communauté étonnamment bienveillante, le paysage vu d’un autre angle, et l’envie grandissante de passer sur une machine un peu plus actuelle et puissante. Puis le mythe Harley des grands espaces, le chrome des hells-angels qui s’estompe en gardant l’esprit de liberté porté par la marque, une machine bondissante et moins vrombissante qui assure une présence discrète et puissante, un trail à l’esprit tranquille. Un trail déjà mythique avant même d’exister, un design atypique mais si naturel : le digne successeur de mon palefroi. Je la vois me mener sur les routes des Balkans, dans les étendues nordiques du Cap Nord, sur les pistes islandaises : rêves ce jour, réalité future je l’espère.